lundi 7 octobre 2013

Transformer la souffrance

3 commentaires:

  1. Très parlant. Ce cœur nourri d'encre et gorgé de sang, qu'elle porte en bandoulière sur le ventre... Ouf.
    J'aime beaucoup aussi son manteau de haillons bigarrés (je ne sais pas si c'est un manteau d'ailleurs, mais c'est très beau).
    Tu l'exposes quand?

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  2. "Très parlant" : c'est vrai que l'expression est très directe, très simple à comprendre.( Comme le charcutier qui coupe la viande exactement entre les articulations : tchac!! )
    Autour de la poupée s'enroulent des bandelettes , des guirlandes de roses, de pousses de feuille ;la connaissance de la souffrance agrandit la compassion envers ceux qui souffrent aussi;l'idée de haillons me plaît bien; elle me rappelle les histoires de rois cachés en mendiants;sous un aspect misérable peut se cacher un trésor; invitation à ne pas rester à la surface des choses , à s'attacher à des stéréotypes de jugement de phénomènes.Des haillons pour détacher les maillons (ici points de suspension :))

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  3. Ah oui, les bandelettes... Bien sûr : je n'y avais pas pensé.
    Tu connais Marie Noël? J'ai eu envie de relire ses poèmes en voyant tes photos. C'est un de mes poètes préférés et elle disait les choses un peu comme toi, du moins à mon idée.

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